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La Gaspésie est un endroit très réputé pour le tourisme au Québec : en 2014, elle a été classée par le National Geographic comme 4ème des 10 meilleurs endroits au monde pour voir les couleurs d’automne ! Elle est facilement accessible depuis Montréal et très bien équipée pour l’accueil des vacanciers.

Côté naturalisme, la période de fin septembre début octobre, est très propice à l’observation de la faune. La période touristique arrive effectivement à son terme et les parcs nationaux vont bientôt fermer leurs portes. Les sites naturels y sont donc beaucoup plus tranquilles, et les visiteurs ont plus de chance de pouvoir apercevoir la grande faune sauvage telles que l’Orignal, le Caribou ou l’Ours noir. Le long du Saint Laurent, les visiteurs peuvent également observer des espèces de cétacés ainsi que des oiseaux migrateurs.

Dans ce carnet, vous découvrirez 68 espèces d’oiseaux, 6 espèces de mammifères marins et 8 espèces de mammifères terrestres observés dans 6 lieux d’intérêt de la Gaspésie, avec des conseils pratiques d’hébergement, de randonnées ou de lieux d’observation.

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Les Canaries constituent un réservoir de biodiversité aux portes de la Méditerranée. Elle possède un pourcentage élevé d’espèces endémiques. Dans ce carnet, vous y trouverez les résultats d’observations de 4 espèces de reptiles terrestres indigènes de Tenerife (sur les 4 existantes sur l’île), d’une espèce d’oiseaux marins (sur les 7 nichant sur l’île) et de 4 espèces de cétacés (sur les 26 fréquentant les eaux des Canaries), avec de nombreuses photos d’illustration et des cartes indiquant où ces espèces ont été observées.

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Insoupçonnée, au milieu du désert arabique, le fonds de la mer Rouge révèle une oasis de biodiversité, suscitant un émerveillement à chaque immersion. Les récifs  de  la  mer  Rouge  accueille par exemple plus  de  300  espèces  de  coraux, 1 000 espèces d’invertébrés  et  1  200  espèces  de  poissons.

C’est ainsi que, au pied du désert, à la frontière du Soudan, Magali Bicharel, novice des écosystèmes marins subtropicaux désertique, vous partage ses observations réalisées au cours d’un voyage en 2020.

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Une mission naturaliste pluridisciplinaire a été menée en février 2017 dans le massif du Fitz Roy (Parc national Los Glaciares/Patagonie/Argentine). Le massif du Fitz Roy doit son nom au mont Fitz Roy, s’élevant à 3 405 mètres. Il est situé entre les glaciers de Patagonie à l’ouest et la pampa sèche à l’est.
L’objectif de la mission était de réaliser des inventaires ciblés sur les sentiers du massif du Fitz Roy pour proposer un guide de la faune sauvage, et en particulier des oiseaux, observables sur les sentiers du Fitz Roy. Nous présentons dans ce rapport se voulant simple et à vocation du grand public, en français et en espagnol, les différentes espèces observées, leur biologie, les chemins de randonnée parcourus et les points d’intérêt faunistiques.

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Ce rapport naturaliste et photographique retrace les observations réalisées par Julie Cabri et Aurélien Grimaud au cours de leur voyage en Guadeloupe.

Au travers des différents habitats traversés, Julie et Aurélien présentent les espèces qu’ils ont rencontrées : oiseaux, amphibiens, reptiles, mammifères terrestres, papillons de jour, odonates, orthoptères, poissons marins, crustacés, phasmes, mantes, araignées, mollusques, etc.

Ils partagent leurs conseils d’observations, les difficultés rencontrées, les spots à ne pas manquer et également leurs coups de cœur.

Bref, une très belle invitation à venir visiter  cette  île  riche  en biodiversité !

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Les odonates des Antilles françaises ont fait l’objet d’assez nombreux travaux depuis le 19èmesiècle avec notamment une première liste des espèces de Martinique et de Guadeloupe en 1932. Mais c’est à partir des années 2000, avec la création d’un groupe d’étude sur les libellules des DOM-COM qu’un véritable dynamique sur ce groupe intervient. C’est dans ce contexte qu’est publiée unepremière synthèse des libellules de Guadeloupe et de Martinique en 2000 puis qu’intervient la parution de l’ouvrage de référence «Les libellules des Antilles Françaises» de François Meurgey et Lionel Picard en 2011 (Meurgey F., L. Picard, 2011).

La description très récente de deux nouvelles espèces en Guadeloupe montre toutefois que ce groupe d’insectes est loin d’avoir dévoilé tous ses secrets.

L’objectif de cette session odonatologique outre-mer est de découvrir les espèces de l’île, leurs habitats et de contribuer à l’amélioration des connaissances sur ce groupe (nouvelles stations, données sur la biologie…).

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La Renouée du Japon, comme son nom le laisse supposer, n’est pas une plante originaire de l’île d’Islay (Ecosse). Elle y est pourtant bel et bien présente, reconnaissable même par un groupe de touristes passionnés par la nature, mais non spécialiste de l’identification des espèces végétales.

Au cours de leur voyage, François Huchin et ses amis ont répertorié et cartographié des stations de ces plantes exotiques envahissantes sur leurs itinéraires afin de mesurer l’étendue de ce peuplement sur l’île.

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Ce carnet présente les oiseaux endémiques des Petites Antilles à travers plusieurs monographies. Il présente à la fois une monographie de 28 espèces d’oiseaux strictement endémiques des Petites Antilles, pouvant être observées sur les îles de la Martinique, de la Guadeloupe, Sainte-Lucie, la Dominique, Saint-Vincent, Grenade, Montserrat, Barbuda et la Barbade. Chaque espèce est présentée par son nom vernaculaire français, son nom scientifique, ainsi que son statut UICN mondial.

Il présente également des itinéraires et des lieux pour observer ces espèces, qui ne vivent qu’entre l’île d’Anguilla et de Grenade. Chaque itinéraire est présenté avec une carte, la durée nécessaire, les difficultés liées au sentier, les oiseaux d’intérêt à voir, ainsi qu’un court récit sur l’accès, les autres espèces à voir et des points de repères.